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Physique:
Les cheveux complètements noirs, il les porte très longs, jusqu'à ses genoux. En fait il ne s'embête tout simplement pas à la couper. Ils sont cependant plus courts au niveau de son visage, s'épanouissant en épis répartis de manière très aléatoire sur sa tête. C'est une bonne grosse tignasse noire, qui, si Perséphone ne démélaît pas tous les matins, serait devenu un dreadlock géant. De nombreux dieux n'arrivent pas à se faire aux yeux d'Hadès, car ils sont à la fois d'une beauté sans pareille, mais aussi d'une froideur et d'un manque d'émotion sans égal. Ils sont bleus glace et on pourrait presque sentir le souffle glacial de la mort qui vous entoure lorsqu'ils vous fixent.
Avant toute chose, pour les simples humins, le visage et l'apparence d'Hadès change selon la personne. Les humains le voient comme ce qui les effraient le plus, mais, la plupart du temps, on prête au Seigneur des Enfers l'apparence d'une femme morte à la beauté incroyable.
Ce n'est pas tout à fait faux, puisque, dans son apparence véritéble, Hadès est considéré comme très beau. Une beauté sombre, froide et quelque peu lugubre, mais il est difficile de nier la magnificience de ses traits. Son visage a tendance à mettre mal à l'aise, de gêner ses interlocuteurs...Mais seulement quand Hadès daigne regarder les gens...Ce qu'il ne fait pas souvent. Il arborera le plus souvent une expression neutre, voire absente, semblant regarder au loin, une réalité qui n'est pas la notre. Son visage reste fermé, assez inaccessible, et il n'est pas rare de croiser une certaine mélancolie sur ses traits. C'est quasi impossible de le voir sourire, seule une personne au monde a réussi à voir une expression de joie sur son visage, et Perséphone se voit quelques fois gratifiée d'un léger sourire, mais celui-ci est vide, sans vie et elle a bien souvent l'impression qu'il ne lui est pas directement destiné.
En présence de son frère Zeus, son epxression se durcit, ses sourcils se froncent, et c'est de la racoeur pure qu'on lit sur son visage à chaque seconde qu'il passe à ses côtés où qu'il entend sa voix, ou simplement que l'on mentionne son nom.
Sa peau est extrêmement blanche, logique quand on ne voit jamais la surface... Hadès est grand de nature, ce serait bête qu'un dieu aussi imposant soit petit...Il mesure environ 1m89. Il a depuis longtemps laissé place à un corps fin et élancé, effaçant petit à petit l'idée d'une musculature grecque bien fournie. Il garde ses traits physiques masculins mais reste quelqu'un de très mince. Une taille fine, de longues jambes et des doigts gracieux, il n'aime pas l'effort physique et cela se voit.
Il est essentiellement et toujours vêtu de noir. Il pense que les autres couleurs ne lui irait pas tant il a l'habitude de porter du sombre. Il porte cependant des ceintures en tissu ou des étoffes de couleur pourpre, voire violet foncé. Il est resté très traditionel dans sa façon de s'habiller, n'aimant pas les vêtements mordernes. Au grand desespoir de Perséphone, il se vêtira de grandes tuniques noires, cintrées mais très amples aux manches et en bas. Il sera toujours couvert des pieds à la tête, refusant de laissant entrevoir plus de peau que nécessaire.
Il lui arrive cependant de faire un effort lorsqu'il doit se rendre, par occasion très rares, sur Terre de porter un costume noir, une chemise rouge sombre et une cravate noire, ce qui arrive vraiment...Une ou deux fois par décénie
Forme Divine:
Hadès est le dieu des Enfers...Ainsi sa forme divine est...effrayante. L'inverse aurait été étonnant d'ailleurs.
Sa peau devient bleue-noire, mais elle donne l'impression d'être transparente, c'est d'ailleurs le cas à certains endroits de son corps, notalement sur ses mains, ses pieds devenus ergots, , ses clavicules et son visage. On y voit tout simplement ses os blancs légèrements bleutés à travers. Sous cette forme il est dans l'ensemble très osseux, donnant un peu l'impression d'avoir le squelette apparant. Sa colonne vertébrale pointe à travers son dos, ressemblant à une sorte de "crête" et ses épaules et ses coudes sont bordés d'os apparents pointus. Ses longs cheveux noirs deviennent vaporeux, comme des flammes noires dans son dos. Son visage est presque entièrement transparent et l'on peut voir sa dentition digne d'un monstre de cauchemard avec ses longs crocs acérés parfaitement rangés en odre et prêt à vous arracher des lambeaux de chair. Ses yeux sont noirs, entièrement noirs mais ils semblent très tristes...Deux grandes ailes squelettiques se dressent dans son dos, leur membrane déchirée mais parfaitement en état de vol.
Hadès hait profondément sa forme divine, ainsi il vous sera mpossible de l'appercevoir, à moins que vous ne l'ayez extrêmement contrarié. Mais il va falloir être plus exaspérant que Zeus lui même.
Caractère:
Hadès est quelqu'un de très dur à comprendre. Même avec les siècles passés à ses côtés, Persépone n'a réussi à percer qu'une petite partie de son comportement. Il est très silencieux, ne parlant que pour le nécessaire, pourtant, sa voix est douce et calme. Sa femme est assez privilégiée, et elle a droit à quelques conversations qui peuvent durer une vingtaine de minutes...ce qui est assez remarquable pour le Seigneur des Morts. Toutes les personnes qui le cotoient ou qui l'ont cottoyé un jour sont à l'unanime, Hadès semble vivtre dans une réalité qui lui est propre, dans un autre monde. Il est détaché de la vie quotidienne et n'avance à son ryhtme, qui est parfois...un peu lent. Mais je vous y verrez vous, à avoir vécu plus millénaires et devoir aller vite à chaque instant...C'est terriblement épuisant à la longue.
C'est un être très seul, aux élans mélancoliques, et il n'est pas très porté sur les accès de rage furieux. Ses colères sont froides et silencieuses, mais sont aussi glaciale et dangereuses qu'un blizzard artique. Il reste un artiste dans l'âme et adore ce qui est beau à ses yeux. C'est un peintre hors pair, capable de peindre des tableaux gigantesque durant plusieurs jours, et ses tableaux reflètent son état d'esprit. Il peut aisément produire une toile tout à fait sompteuse, lumineuse, d'une poésie époustouflante, et le jour d'après, une scène d'une tristesse incomparable. Il aime énormément faire des portraits d'animaux ou des natures mortes, ainsi que des portraits "humains", et ceux-ci, d'un réalisme saisissant, sont dédaigneusement offerts à la personne concernée. C'est juste sa façon de revenir dans la réalité et de faire savoir qu'il apprécie la personne...A ce jour, il n'a offert que quelques portraits...Perséphone à bien sur eu droit au sien, il est coloré, chaleureux et mets tout à fait en valeur la beauté simple mais immense de la nymphe. Mais il existe un portrait qu'il garde jalousement et dont personne n'a jamais vu ce qui il représentait.
Hadès n'aime pas le monde, la foule, être entouré de trop de personnes à la fois..C'est un personnage très solitaire, qui préfère largement passer une journée à vagabonder le long de son royaume dans un silence le plus total plutôt que de se mêler à toutes ces fêtes et surtout, de se mêler au monde humain. Il n'a que faire de cet endroit car, de toute façon, tous finiront dans le sien à la fin. Parlons en d'ailleurs du monde humain...N'en avez vous pas assez de faire des enfants et de devenir de plus en plus nombreux...La place comment à manquer en bas ! Et il faut bien payer les employés qui s'occupent de tous ces morts ! Franchement, on a jamais de considération pour les Enfers !
Concernant Perséphone...Ce n'est pas simple. Lors de leur première rencontre, il l'avait simplement trouvé très belle, aussi belle qu'une oeuvre d'art et c'est son âme d'artiste qui est venue à sa rencontre. Ils discutaient peu, ils s'asseyaient simplement à côté, Hadès peignait, elle le regardait. Commençant alors à se développer entre un mélange entre de l'affection et de la fascination. Perséphone ne pouvait nier que le physique du Dieu ne la laissait pas indifférente, mais elle n'éprouvait qu'une certaine pitié envers lui qui la poussait à rester en sa compagnie. Hadès, ne pu se cacher longtemps qu'il l'appréciait grandement. Elle était là, cette petite lueur de beauté et elle l'apaisait. Mais lorsqu'il l'amena aux Enfers, il comprit que cette affection n'était pas automatiquement partagée. Il ne resta pas longtemps dans son illusion d'amour, se rendant lui même compte qu'il ne la désirait pas comme une femme mais comme un peintre désirerait posséder un magnifique tableau. Maintenant, ils ont tous deux accpeté leur statut de couple et, Perséphone reste tout de même une personne très privilégiée sentimentalement. Elle est sa confidente, sa Reine et la seule qui l'appaise. Ils sont proches et se soutiennent mutuellement. Il n'arrive pas à être très affectueux avec elle, mais pense très tendrement de sa femme. Il lui est reconnaissante de rester à ses côtés, même si il lui arrive d'oublier son existence.
Au fond de lui, il garde une profonde blessure, qui il pense, ne guérira jamais. La mort de son ancien amant Léonidas [i](oui, je sais, c'est mal de changer les histoires, mais laissez moi assouvir ce fantasme de caresser ces impressionants muscles par le biais de mon personnage ;_; )[i], lui est resté depuis plus de deux milles ans sur la conscience, et il ne se séparera sanas doute jamais de la douleur de l'avoir perdu...Le sujet de Léonidas est encore extrêmement sensible et il n'est vraiment pas conseillé d'y toucher, Héra en paiera le prix fort.
Il suffit de cotoyer le dieu pendant quelques temps pour se rendre compte qu'il est resté un enfant, avec ses caprices, ses sauts d'humeurs et ses envies aussi soudaines qu'incohérentes. Il se comporte quelque fois comme un enfant gâté, un peu plus devant Perséphone, et n'hésite pas à hair une personne simplement parce que sa tête ne lui revient pas.
Ne croyez pas, en lisant ces lignes qu'Hadès est un etre facilement contournable ou facile à surpasser, ce serait vous mordre violement les doigts. Il n'a pas survécu ces millénaires sans être puissant et sans s'imposer. Il reste un dieu fier et n'apprécie pas d'être traité comme n'importe quelle divinité mineure. Il estime que son rang divin est supérieur à ceux des autres dieux, même si il ne le montre pas forcément, il aura simplement quelques remarques pour rappeler son statut. Il peut se montrer particulièrement borné et têtu, ne lâchant jamais ce qu'il veut car extrêmement possessif, et n'hésitera pas à user de sombres moyens pour avoir ce qu'il désire. Il n'a pas d'affection particulière pour la vie, ainsi, donner la mort facilement ne le gêne absolument pas. Il sait se montrer très effrayant quand il le veux, et, avec la guerre qui fait rage en ce moment, il n'hésitera pas à raser la terre entière pour se venger de Zeus à défaut de pouvoir le détruire.
Il en veut toujours et autant à Zeus, même depuis tous ces siècles. Il sait qu'il a triché, il sait qu'il voulait simplement se débarasser de lui et gagner les cieux, et ça, il ne peut pas lui pardonner, de l'avoir exilé au fond de ce trou lugubre où il ne peut même pas voir la lumière du soleil, où rien ne pousse et où tout n'est que pierre et mort. Il tente désespérement à chaque occasion possible de gagner une place au panthéon, mais se fait rejeter comme un malpopre à chacune de ses occasions. Mais aujourd'hui, la coupe est pleine...
Histoire:
Raconter la vie d'un immortel...C'est long...Alors un petit résumé s'impose !
Comme ses trois frères et une bonne partie de la mytholoigie grecque, Hadès vit le jour à l'âge des titans. Après, on connait tous l'histoire, mangé par son propre père avec le reste de ses frères et soeurs, ils réussirent à vaincre Chronos et le jeter au plus profond du tartare avec le reste des titanrs. Puis vint la pioche des royaumes et Hadès écopa de celui dont personne ne voulait, et surtout pas lui.
Mais ne pouvant pas y faire grand chose, il s'y contenta pour les siècles suivants, même si il essaiyait régulièrement d'occuper un trône à l'Olympe, en vain. Hadès développa alors son propre royaume dans son coin, comme ses deux frères.
Un jour nuageux, Hadès fut abordé par une jeune fille d'une incroyable beauté. Elle sortait tout droit d'un tableau peint par les plus talenteux des artistes, elle s'appellait Perséphone. Très rapidement, ils firent connaissances et se rapprochèrent considèrement, jusqu'à une pointe d'affection naisse dans le coeur du dieu des enfers. La suite est bien connue également, après de moultes épreuves, ils finirent mari et femme. Fier de sa Reine, i llui céda tout, mais au fond, il n'était pas plus heureux que ça.
Ce n'est que plus tard, que le bonheur frappa à la porte de son coeur.
Il y a plus de deux millénaires, Hadès fit la connaissance d'un jeune homme, un jeune prince de Sparte, Léonidas Au fil du temps, les deux hommes continuèrent de se fréquenter en toute amitié, même si le prince se voyait bien plus intéressé par le physique du dieu. Finalement, le coeur d'Hadès succomba à ses désirs et les deux devinrent éperduement amoureux l'un de l'autre. Leur idylle n'était pas sans heurs, car devoir supporter le dieu des morts au quotidien n'est pas une mince affaire mais le relation subistait. Perséphone était ravie de voir son mari heureux, et l'a même surpris à sourire. Durant cette période Hadès était profondément heureux, il l'aimait cet homme, cet homme l'aimait, il s'était entièrement donné à lui et n'avait trouvé la joie de vivre que dans ses bras. Mais la nature fit son oeuvre et lorsque la guerre éclata et qu'Hadès trouva le corps sans vie et criblé de flèches de son aimé, le monde s'arrêta de tourner. Il était inconsolable. Il s'enferma dans le mutisme pendant deux années entières, il errait dans son palais comme une âme en peine et passait ses journées près du Styx à contempler l'âme de Léonidas qui flottait parmis les autres. Il n'était plus qu'une coquille vide, et c'est à cette période qu'il s'est déconnecté de la réalité. Il ne jugeait pas utile de se soucier de cette vie si Léonidas n'y était plus...Ce fut Perséphone qui ne perdit pas espoir et qui, au fil de nombreux efforts et de présence, réussit à le sortir de sa léthargie. C'est à ce moment que les deux époux devinrent résolument plus proches.
Hadès ne se remit jamais de cet amour douloureux, même encore maintenant, il lui arrive de traquer le fantôme de son amant qu'il aime toujours autant.
Pourtant, une femme sut suciter de la tendresse et un intérêt pour le dieu des morts, il y a seulement 17 ans. Il était en Italie, ne se lassant jamais de contempler la beauté de ces villes toujours remplies de l'esprits des artistes qui les faconnèrent au fil des siècles. Au milieu d'un pont de Venise, une femme, seule, contemplait le fond de l'eau verte et vaseuse. Une gondole passait silencieusement dessous, et si le vent n'avait pas fait atterir le chapeau de la femme aux pieds d'Hadès, jamais il ne l'aurait vue. Ses yeux, aussi bleus que les Siens, ce regard fier et fort, de longs cheveux noirs et bouclés, descendants en cascade dans son dos...Le coeur d'Hadès se serra alors qu'elle lui souriait lorsqu'il lui tendit son chapeau. Leur relation ne fut pas aussi idyllique qu'il n'y parait. Ils ne passèrent que deux mois ensembles, mais Maria avait tout de suite compris que ce baiser qu'il lui avait donné ne lui était pas vraiment destinée. Même en sachant cela, elle continua de l'aimer en silence, essayant au moins de panser un peu son coeur. Hadès l'abandonna après deux mois, retournant dans son royaume, ne laissant aucun souvenir de leur histoire à Maria. Il ne savait juste pas qu'elle portait son enfant.
Le temps passe mais les dieux eux, ne trépassent pas, et pour Hadès, l'immortalité est un poids bien lourds qu'il ressent de plus en plus chaque jour.
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Sujet: Hadès, Dieu des Enfers. 
Jeu 28 Aoû - 18:59
